- Advertisement -

Célébration des 60 ans d’indépendance de la Côte d’Ivoire: La FENSCI reconnaissante aux actions du Chef de l’État

181
Listen to this article

La Côte d’Ivoire vient de célébrer ses soixante ans d’indépendance. A cette occasion,  les commentaires ont fusé de partout. El Hadj Abdoulaye Sylla, le président de la Fédération nationale des syndicats de chauffeurs de Côte d’Ivoire (FENSCI), s’est voulu reconnaissant aux actions de développement du Chef de l’Etat, Son Excellence Alassane Ouattara. «(…) Nous profitons de ce grand instant pour souhaiter longévité et santé de fer  à notre cher Président Alassane Ouattara. Excellence, en une dizaine d’année seulement, vous avez remis la Côte d’Ivoire sur les rails du développement, avec un point d’honneur au niveau des infrastructures routières. Des milliers de routes ont été bitumées, réprofilées. Toutes les régions du pays, ont eu du bitume, de nombreux ponts construits, sans oublier les échangeurs. Merci Président », se satisfait Abdoulaye Sylla. Pour qui, le positif bilan du Président Ouattara, parle de lui-même. «(…) Soixante ans correspond à l’âge de la maturité. Et  Son Excellence, le Président Ouattara nous l’a démontré sur tous les plans. En effet, en si peu de temps, il a mis la Côte d’Ivoire aux premières loges de développement en Afrique Subsaharienne. Nous ne pouvons que lui en etre reconnaissant », explique –t-il. Se prononçant sur la nomination de Son Excellence Monsieur Hamed Bakayoko comme Premier Ministre, Abdoulaye Sylla, a estimé qu’il était le meilleur cheval. «(…) Quoi de plus normal. C’est le meilleur choix. Un choix opéré dans les cieux, et confirmé par le Président de la République. L’actuel locataire de la Primature a déjà fait ses preuves lorsqu’il assurait l’intérim de ce poste. C’est donc la continuité,  et nous lui souhaitons une très bonne chance dans la  mission », a noté l’orateur. S’agissant des acteurs du transport terrestre, il leur a demandé plus de sagesse, de paix, de fraternité  et de cohésion dans le secteur. «(…) A l’âge de la maturité, le pays n’a plus besoin  de bagarres à la machette dans les gares, encore moins d’autres formes de violences », indique le responsable de la FENSCI.